Barrer sous spi par vent frais nécessite une bonne communication entre le barreur et les équipiers chargés du spi est primordiale. Le barreur doit transmettre ses sensations et observations afin de garder le bateau équilibré.
Sous l’action d’une risée, parfois conjuguée à celle d’une vague, la barre durcit, le bateau part à la gîte, se couche et le spi peut se charger d’eau. Le safran étant souvent dans ce cas hors de l’eau, la barre n’a plus aucun effet … En quelques secondes, il faut choquer hale-bas et écoute de grand-voile, écoute de spi … L’équipage doit être prêt !
En choquant la grand voile avant la risée ou en encore en abattant, le départ au lof aurait certainement pu être évité.

Qualité de prise de vue due aux conditions atmosphériques (passages de grains, distance, longue focale, …) …